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Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de gls posté le 09-02-2018 à 10:26:35 (S | E | F)
Bonjour mes amis
Pouvez- m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? Merci d’avance.
De retour à la maison, un rassemblement de gens m’attira l’attention. Je m’en rapprochai, un jeune homme de vingt ans étendu sur le dos. Les yeux ouverts, un peu de sang jaillit de son nez. C’était une scène faisant mal au cœur. C’est qui cet homme ? Qui l’a tué ? Que sont ses parents ?... ce sont des questions circulaient entre les personnes qui étaient sur place. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers la morgue. Une minute plus tard, tout le monde dispersa comme si rien n’était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste, je passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Une question qui me tortura la tête. Demain matin je l’avais posée sur la une d’un journal où j’occupais le poste du directeur. Je fis une enquête sur la vie de cet orphelin, il avait perdu ses parent quand il avait deux ans. Son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il avait décédé et laissa cet enfant tout seul à l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas une maison pour l’abriter contre le froid d’hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme d’autres enfants de son âge. Il n’avait ni les nouveaux habilles ni la nourriture, il mangea le reste du pain des autres. Il était privé de la tendresse. Tout le monde l’ignora. Il n’avait jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il vint s’installer en face d’une fenêtre en espérant de voir une fille splendide. Cette fille avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Ses longs cheveux et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction du feu, il partit pour rejoindre son lit conçu de carton qui se trouvait dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé de lui destiner un mot. Il hésita, comment une telle fille aussi belle que la lune pouvait aimer un vagabond comme moi. Dans une nuit glaciale, la fille n’avait pas ouvrit la fenêtre et il resta tout le temps attendre son apparition, ses yeux étaient fixés sur la fenêtre. Mais en vain. Le lendemain matin, les passagères trouvèrent son corps rigide de froid.
Réponse : Texte de alienor64, postée le 09-02-2018 à 12:17:12 (S | E)
Bonjour gls

Lien internet
De retour























































Bonne correction

Réponse : Texte de gls, postée le 09-02-2018 à 13:29:02 (S | E)
bonsoir alienor et merci beaucoup.
En retour chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... ces questions circulaient entre les personnes qui étaient présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre dans la morgue. Une minute plus tard, tout le monde dispersa (ce verbe n'est prom. selon le dictionnaire ) comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je l’avais posée sur la une d’un journal où j’occupais le poste du directeur. Je fis une enquête sur la vie de cette victime innocente. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme le cas des autres enfants de son âge. Il n’avait ni les nouveaux habits ni la nourriture, il mangea le reste du pain des autres. Il était privé de la tendresse. Tout le monde l’ignora. Il n’avait jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il vint s’installer en face d’une fenêtre en espérant de voir une fille splendide. Cette fille avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Ses longs cheveux et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction du feu, il partit pour rejoindre son lit conçu de carton qui se trouvait dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé de lui destiner un mot. Il hésita, comment une telle fille aussi belle que la lune pouvait aimer un vagabond comme moi. Dans une nuit glaciale, la fille n’avait pas ouvrit la fenêtre et il resta tout le temps attendre son apparition, ses yeux étaient fixés sur la fenêtre. Mais en vain. Le lendemain matin, les passagères trouvèrent son c
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Réponse : Texte de alienor64, postée le 09-02-2018 à 13:51:08 (S | E)
Bonjour gls
En retour



















Réponse : Texte de gls, postée le 09-02-2018 à 16:37:21 (S | E)
Bonjour alienor et merci beaucoup
En revenant chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... Ces questions circulaient entre les personnes présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre à la morgue. Une minute plus tard, tout le monde se dispersa comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je la posait sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur. Je fis une enquête sur la vie de ce jeune homme. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva à la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme pour les autres enfants de son âge. Il n’avait ni nouveaux habits ni nourriture, il mangeait le reste du pain des autres. Il était privé de tendresse. Tout le monde l’ignorait. Il n’était jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il venait s’installer en face d’une fenêtre, espérant apercevoir la fille splendide qui avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Les longs cheveux de cette fille et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction de la lumière, il partait rejoindre son lit de carton dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé lui dire un mot. Il se demanda : "Comment une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi ? " Cette nuit-là était glaciale mais la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre, mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.
merci.
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Modifié par gls le 12-02-2018 10:17
Réponse : Texte de alienor64, postée le 09-02-2018 à 20:16:11 (S | E)
Bonsoir gls
Seules ne restent à faire que ces quelques corrections :
- Le lendemain matin, je l’avais posée(autre temps : imparfait (de narration) ) sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur.
- Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva dans

- en espérant(mieux : participe présent, précédé d'une virgule et non gérondif) aperçevoir

Il hésita






Réponse : Texte de gls, postée le 12-02-2018 à 10:38:08 (S | E)
Bonjour alienor et merci beaucoup.
En revenant chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... Ces questions circulaient entre les personnes présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre à la morgue. Une minute plus tard, tout le monde se dispersa comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je la posais sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur. Je fis une enquête sur la vie de ce jeune homme. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva à la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme pour les autres enfants de son âge. Il n’avait ni nouveaux habits ni nourriture, il mangeait le reste du pain des autres. Il était privé de tendresse. Tout le monde l’ignorait. Il n’était jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il venait s’installer en face d’une fenêtre, espérant apercevoir la fille splendide qui avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Les longs cheveux de cette fille et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction de la lumière, il partait rejoindre son lit de carton dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé lui dire un mot. Il se demanda : "Comment une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi ? " Cette nuit-là était glaciale mais la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre, mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.
merci.
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Modifié par gls le 12-02-2018 10:57
Réponse : Texte de alienor64, postée le 12-02-2018 à 11:03:53 (S | E)
Bonjour gls
Une seule erreur !
'... je la posait

Bonne journée
Réponse : Texte de gls, postée le 12-02-2018 à 11:37:28 (S | E)
bonjour alienor et merci
En revenant chez moi, un rassemblement de gens attira mon attention. Je m’en approchai ; un jeune homme de vingt ans était étendu sur le dos, les yeux ouverts, un peu de sang jaillissait de son nez. C’était une scène qui faisait mal au cœur. Qui est cet homme ? Qui l’a tué ? Qui sont ses parents ?... Ces questions circulaient entre les personnes présentes. « Il est mort de faim et de froid » déclara un homme. La police vint et rédigea un procès verbal, puis les ambulanciers l’évacuèrent vers l'hôpital avant de déposer son cadavre à la morgue. Une minute plus tard, tout le monde se dispersa comme si rien ne s'était passé. Pour eux, c’était un vagabond, sans famille, une personne inconnue, son histoire se termina ici. Je regagnai la maison d’un air triste et passai une nuit blanche. Qui sont les responsables du décès de ce jeune homme ? Cette question me tortura. Le lendemain matin, je la posai sur la une d’un journal où j’occupais le poste de directeur. Je fis une enquête sur la vie de ce jeune homme. Il avait perdu ses parents quand il avait deux ans ; son oncle l’avait pris en charge, il était gentil avec lui. Malheureusement, il décéda et laissa cet enfant tout seul dès l’âge de cinq ans. Cette fois, il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Depuis cette catastrophe, l’orphelin se trouva à la rue, le ciel était son toit. Il erra d’une rue à l’autre, il n’avait pas de maison pour l’abriter contre le froid de l'hiver, la forte chaleur de l’été et les dangers de la nuit comme pour les autres enfants de son âge. Il n’avait ni nouveaux habits ni nourriture, il mangeait le reste du pain des autres. Il était privé de tendresse. Tout le monde l’ignorait. Il n’était jamais entré dans une école. Il avait passé quinze ans de sa vie en souffrance. Chaque nuit, il venait s’installer en face d’une fenêtre, espérant apercevoir la fille splendide qui avait l’habitude de jeter un coup d’œil par la fenêtre de sa chambre avant d’éteindre la lampe. Pour le vagabond, cet instant était toute sa joie. Les longs cheveux de cette fille et l’éclat de son sourire lui donnaient un grand espoir. Elle était son rêve. Il l’avait tellement aimée. Après l’extinction de la lumière, il partait rejoindre son lit de carton dans un jardin public. Ce scénario se répéta toutes les nuits. Il n’avait jamais osé lui dire un mot. Il se demanda : "Comment une fille aussi belle que la lune pourrait aimer un vagabond comme moi ? " Cette nuit-là était glaciale mais la fille n’avait pas ouvert la fenêtre et il resta tout le temps à attendre son apparition, les yeux fixés sur la fenêtre, mais en vain. Le lendemain matin, des passants trouvèrent son corps rigide de froid.
merci.
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Réponse : Texte de alienor64, postée le 12-02-2018 à 13:48:34 (S | E)
Bonjour gls
Votre texte est à présent correct.

Bonne continuation

Réponse : Texte de gls, postée le 12-02-2018 à 15:14:44 (S | E)

alienor
bravo
Réponse : Texte de alienor64, postée le 12-02-2018 à 22:37:27 (S | E)
Avec plaisir, gls

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